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Publié le par Pierre102 (102 comme double 51)

Publié dans marseillelabulle

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M
Bonjour,<br /> Je suis mareseillais et je connais ton blog, bravo !<br /> Je t'envoie un lien vers un endroit où j'ai posté la une d'un journal qui traite de l'immo de Mareseille.<br /> Bonne continuation, Marsy13<br /> http://www.lavieimmo.com/voir-Marseille__Marseille_ou_la_baisse_douteuse-65-ville_4459-1_1.html
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T
Ce sont les Acheteurs qui ont le Pouvoir face aux Vendeurs. Si aujourd'hui TOUS les Acheteurs disent aux Vendeurs : "On veut -30% de remise ou on achète pas"... que peuvent faire les Vendeurs... ? Rien du tout...!!!
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O
Quelle lecture instructive (tout ton blog, plus l'ensemble des liens).Tout celà m'inspire 2 réactions contradictoires :La première, c'est une inquiétude professionnelle, puisque je travaille dans le bâtiment et que les bons chiffres de la construction ont un certain impact sur mes revenus.La deuxième, un certain soulagement de rencontrer enfin des gens qui ont le même sentiment que moi sur la situation actuelle (même observations faites sur les panneaux affichés aux immeubles) alors que les acteurs du secteur (AI et constructeurs) me semblent faire les autruches.De plus, en tant que chercheur d'appart (l'achat est trop cher à Marseille) je pense que je vais suivre ton conseil de négociation des loyers (me reste 3 mois de préavis).J'ai également une piste à soumettre en ce qui concerne la vacance de nombreux appartements en location. J'ai l'impression que les loueurs (agences ou part) demandent de plus en plus de garanties aux locataires (deux proprios m'ont même dit qu'ils étaient prêt à louer leur bien 1 ou 2 mois plus tard pour avoir un locataire avec le meilleur dossier).Il me semble que, dans le marché locatif, la peur de l'impayé soit très importante (plus que par le passé, quoique je n'habitais pas Marseille alors).J'attends de nouvelles infos avec impatience...
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F
lire<br /> <br /> Posté le 29-07-2006 à 15:13:30   <br /> <br />  <br /> <br /> LA BULLE IMMOBILIERE PERSITE A MARSEILLE  http://www.lesechos.fr/patrimoine/ [...] 059060.htm  Lire cet excellent article des ECOS du 187/2006  La rédaction web des Echos - 18 juillet 2005       Immobilier   -        Logement : les prix surévalués de 15 à 25% à Marseille [ 18/07/05 ]     Réagir à cet article   |   Voir les commentaires publiés (0) Comme beaucoup de vendeurs, les Marseillais tentent de profiter des hausses du marché immobilier, mais gare aux exagérations  Même si les prix en région Provence-Alpes-Côte d'Azur restent loin, en moyenne, de ceux de la région parisienne, ils s'affichent à la hausse. Une récente table ronde (1) regroupant des experts locaux de l'immobilier constate des prix surévalués de 15 à 25% entre ce que demande le vendeur et le prix du bien, tel que peut l'estimer un professionnel. A Marseille, par exemple, il y a 25% d'écart entre le rêve du vendeur et la réalité. Certains de ces biens arrivent, cependant, à trouver preneurs quand ils s'échangent entre particuliers, mais sur la base d'un prix trop élevé qui entretient l'inflation et explique, peut-être, aussi le ralentissement des transactions. Selon les experts, Aix et Marseille (ville où le revenu fiscal est le plus bas de France) ont des difficultés à vendre des produits de plus de 500.000 ?. En outre, l'idée que sur Aix-en-Provence les prix augmentent à cause des achats des étrangers est fausse : il y a très peu d'étrangers en comparaison avec Nice où 18% des transactions sont faites avec eux. Enfin, les entreprises qui délocalisent vers le sud de la France hésiteraient aujourd'hui de s'installer à Sophia Antipolis et sur la Côte d'Azur en général, car elles ne peuvent pas loger leurs salariés, en raison des prix trop élevés.  La majorité des ventes se focalisent sur les petites surfaces en appartements : une et deux pièces à un prix moyen d'achat entre 150.000 ? et 200.000 ? alors que les quatre et cinq pièces subissent un coup de frein depuis 2004. Concernant les maisons, la demande se situe autour d'un prix plafond de 300.000 ?, mais les offres à ce niveau sont très rares. Pour les maisons aixoises de plus de 600.000 ? les délais de vente sont supérieurs à six mois, parfois un an, alors qu'elles se vendaient encore bien jusqu'en 2003. La prise de décision est plus longue, l'acheteur se trouvant aujourd'hui à la limite de ses possibilités financières. D'ailleurs, on constate une augmentation du nombre des dossiers des primo accédants refusés par les banques : selon un intervenant de la table ronde, on constate jusqu'à 50% de refus de demandes de prêts et l'endettement moyen des ménages tourne autour de 150.000 ? et plus. Le candidat à l'achat a donc tendance à réduire la surface du bien à acquérir. En six ans, les surfaces achetées sont moins importantes en superficie pour un prix identique : on est passé de 100 m2 à 93 m2 pour le même investissement.   Bernard Le Court  
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